Quand on est naturiste, on ne peut qu’admirer la nature, en voici un aperçu :
Hors saison, en février sur le parking de l’Encor vous pourriez découvrir des perce-neiges (01) à une extrémité, et des jonquilles à l’autre (02).
Mi-avril, quand nous installons les structures nous trouvons le pourpier (03) vous pouvez en faire une bonne soupe.
La nature n’est pas encore prête, les arbres (04) manquent de feuilles mais le soleil est bien là. Après les tapis du beach-volley, les jacinthes sauvages s’ouvrent (05).
Dans un chemin, l’églantier (06) commence à éclore alors que de l’autre côté, l’aubépine (07) est déjà fleurie.
En juin, dans une allée ombragée et humide, les iris (09) fleurissent. Par endroits, un arbre à papillons (11) attire tous les insectes, c’est une plante invasive.
Une orchidée bouc (14) (qui sent mauvais comme l’indique son nom) espère échapper à la tonte. Les boutons d’or (15) envahissent une allée.
Les années se suivent mais ne se ressemblent pas, une allée est grillée (16) par le soleil alors qu’en janvier certains endroits (17) sont sous l’eau. Notre beau saule pleureur (18) domine l’aire de pique-nique.
A la croisée d’un chemin, une surprise nous attend (19) c’est le résultat d’une tempête. Dans un autre secteur, ce sont les roseaux (20) qui occupent notre espace.
Dans certains endroits ombragés (22), nous ne risquons pas la canicule. Le vent a eu raison d’une branche de ce beau pin (23).
Nous approchons de l’automne, les argousiers sont presque mûrs ainsi que les pommes (24). Les ronces nous présentent de belles mûres en premier plan, et un églantier (25) nous offre ses graines de « poil à gratter».
Dans chaque allée, vous pouvez admirer les fougères. A la fermeture de la saison, les derniers fruits qui mûrissent sont les prunelles (26).
Bonne promenade naturiste à l’Encor au gré des nombreux kilomètres de sentiers de ses 18 hectares de nature.
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